Suite à l’intrusion d’un agent pathogène (et aussi le cas de la modification du soi), différents éléments du système immunitaire seront activés et acheminés vers le lieu de l’intrusion ou infection pour que se déclenche tout un processus de reconnaissance de l’élément pathogène afin de le détruire.
De façon générale, la réponse immunitaire prend deux aspects différents avec l’intervention d’une panoplie de cellules et d’autres éléments immunitaires afin d’éliminer l’élément responsable du déclenchement de cette réponse : l’Antigène (ou l’agent pathogène).
La réponse immunitaire inné ou non spécifique
Elle comprend plusieurs aspects.
De façon innée, chaque individu, dès sa naissance possédée des barrières le protégeant contre l’action des éléments externes, le schéma suivant montre quelques-unes de ces barrières classées selon leur nature.
On qualifie l’inflammation de réponse immunitaire non spécifique du fait de :
La réponse inflammatoire nécessite l’intervention de cellules et médiateurs immunitaires (de nature chimique) :
Essentiellement les macrophages et d’autres cellules phagocytaires sentinelles présentent au niveau des tissus.
La destruction de l’élément pathogène nécessite l’intervention de différentes cellules immunitaires et notamment des granulocytes et monocytes. L’attraction de ces cellules se fait par des médiateurs chimiques inflammatoires qui permettent aussi leur sortie des veines et capillaires sanguins.
Le tableau suivant montre la nature de quelques médiateurs de l’inflammation ainsi que leurs rôles dans la réponse inflammatoire.
Le système dit du complément est un groupe de 35 protéines sériques (au niveau du sérum) dont l’activation se fait en série. L’intervention des facteurs du système complément permet de (voir la figure ci-dessous) :
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